Conseils anti-stress pour être zen et heureuse: l’EFT (Emotional Freedom Techniques) et la sophrologie

Equilibre

La rentrée est parfois un peu stressante, alors dans la série conseils anti-stress pour être zen et heureuse, je souhaitais vous présenter l’E.F.T. que j’associe régulièrement à ma méditation.

l’EFT (Emotional Freedom Techniques):

EftL’EFT est une technique de libération des Émotions (Emotional Freedom Technique), qui peut être utiliser parfois en complément ou en association avec d’autres techniques que nous verrons plus bas comme la méditation l’hypnose, la sophrologie… Toutefois, elle peut également dans certains contextes, se suffire à elle-même ! Il s’agit d’une méthode simple pour déstresser en quelques minutes en tapotant sur le trajet de méridiens répertoriés par la médecine chinoise. Ce sont les mêmes points que vous pouvez retrouver, entre autres, en acupuncture. C’est de l’acupressure émotionnelle sans les aiguilles 😉

C’est une méthode fondée par Gary CRAIG, (inspiré des travaux des Dr Goodheart et Roger Callahan). Elle basée sur la stimulation par tapotement de certains points du corps, situés sur des méridiens d’acupuncture, associée à la verbalisation des données du problème à résoudre.

Chaque problème comporte souvent de nombreux aspects. Chacun de ceux-ci peuvent être traités séparément en les verbalisant tout en effectuant pour chacun une ronde de tapotements. Cette méthode qui peut paraître un peu complexe, est en fait d’utilisation très simple et rapide ! Au début le fait d’être accompagné par un thérapeute, permet de la maîtriser et de trouver beaucoup plus facilement les affirmations que l’on peut  utiliser par la suite pour trouver une solution.

Ensuite nous devenons rapidement autonome et pouvons la pratiquer tout seul. Personnellement, j’ai appris cette technique en écoutant deux thérapeutes très généreuses et  très connues sur le web,

> Caroline Dubois:  www.bien-etre-et-prosperite.com

> Maria ANNELL  www.EFTPourTous.com

L’EFT permet :

  • de se libérer des émotions désagréables, de croyances devenues inutiles, qui peuvent entretenir certains malaises et comportements …
  • de les remplacer par des émotions plus agréables des croyances aidantes,
  • de dissoudre la souffrance en découvrant les messages derrière la douleur ;
  • d’en finir avec certains blocage, de mettre en place de nouveaux comportements  et ainsi accueillir une nouvelle vie pleine de possibilités et de richesses.…

connexion joie

La sophrologie

A la fin du mois d’août, j’ai souvent fait appel aux services d’une amie de profession sophrologue, pour préparer la rentrée scolaire de ma fille toujours un peu stressée lors de ses deux premières années de collèges (depuis cela a bien changé…). Certains sophrologues utilisent d’ailleurs également l’EFT pour compléter leur séance.

Pour la majorité des utilisateurs, la sophrologie est une technique de relaxations’apparentant à l’hypnose, en ce sens qu’elle amène le sujet dans un état de conscience qu’on pourrait dire « désencombré ». Le sujet est alors capable de se concentrer d’une manière exceptionnelle sur un besoin spécifique. Il peut s’agir, par exemple, d’atténuer les douleurs causées par un traitement médical, de préparer un examen ou une compétition, d’abandonner une dépendance ou de réduire les effets du stress, ce qui nous intéresse plus particulièrement dans le cas présent

Le terme a été créé à partir des mots grecs sos (harmonie), phren (esprit) et logia (étude), combinaison à laquelle les sophrologues donnent le sens « d’étude de l’harmonisation de la conscience ».

La sophrologie a été mise au point au milieu du XXe siècle par le Dr Alfonso Caycedo, neuropsychiatre colombien alors établi en Espagne. Il s’intéressait particulièrement aux états et niveaux de conscience : veille, vigilance, concentration, attention flottante, coma, etc., ainsi qu’à l’hypnose médicale.

Après avoir sérieusement étudié la phénoménologie et séjourné pendant 2 ans en Orient pour s’initier à certaines techniques d’accès à des états de conscience non ordinaires, il crée officiellement la sophrologie en 1960. Au fil de l’expérimentation, le Dr Caycedo crée 2 familles de techniques.

  • Les relaxations dynamiques, qui comprennent plusieurs exercices empruntés au yoga, au bouddhisme et au zen ainsi qu’au Qi Gong. Elles sont destinées à mieux connaître son corps, à relaxer mentalement, à stimuler l’hémisphère droit du cerveau et à élever les niveaux de créativité et d’intuition. Le sujet est initié à cette pratique par étapes.
  • Les sophronisations, qui se pratiquent à l’intérieur d’une relation sophrologue-client. D’un ton monocorde, le sophrologue amène le client dans un état cérébral d’ondes alpha et l’entraîne dans le travail de suggestion mentale sur lequel ils se sont préalablement entendus.

Très largement inspirés des techniques d’autohypnose, de yoga, de méditation, ainsi que du training autogène, ces outils comprennent surtout des exercices mentaux et respiratoires, de la visualisation et certains exercices corporels.Plusieurs exercices sont axés sur l’attention aux sensations physiques, car la représentation corporelle jouerait un rôle très important sur la conscience. En ce sens, la sophrologie pourrait faire partie des thérapies que l’on dit psychocorporelles.

Il existe deux modes de pratique:

  • Par soi-même, pour soi-même. On peut apprendre les exercices appropriés et les pratiquer ponctuellement, à la manifestation d’une douleur, par exemple. On peut aussi répéter quotidiennement une séquence d’exercices (parfois avec un support audio enregistré) dans le but de poursuivre un travail de développement personnel. On pourrait ainsi stimuler sa motivation ou sa créativité, se défaire d’une dépendance, s’affirmer devant l’autorité, s’ouvrir spirituellement, etc.
  • En consultation avec une personne formée. Dans ce cas, le sophrologue induit chez le sujet l’état de conscience requis et l’amène, avec son accord préalable, à « reprogrammer » son comportement pour régler un problème ou accomplir une tâche. Il n’y a aucun contact physique.

En conclusion, la sophrologie permet de relâcher ses tensions, apaiser son esprit, prendre du recul, apprendre à se poser, écouter son corps, entretenir la pensée positive, apprivoiser ses émotions, développer la confiance, libérer les blocages inconscients, se ressourcer,renforcer son potentiel intérieur, être mieux avec soi et les autres…Tout un programme direz-vous et pourtant, cette pratique a permis à bien des personnes d’être zen et heureuse sans substitut chimique, même dans un contexte stressant, de souffrance et ou de dépression. Personnellement cet outil m’aide régulièrement même si j’ai plutôt recours à la méditation et au Reïki dont je vous parlerai dans le prochain article.

Et vous, avez-vous eu recours à la sophrologie ou à l’FET?

Ah, j’allais oublier, en fait la première fois que j’ai fait appel à la sophrologie, ce n’est pas dans un contexte de stress et de gros blues mais dans un moment tout à fait heureux de ma vie…lorsque j’étais enceinte de ma deuxième fille!

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